Miroslav Krleža

On retrouve tout au long de sa carrière diverses influences d'Ibsen et Strindberg au début, mais aussi de Kraus, Rilke, Dostoïevski et Proust par la suite.
Certaines de ses œuvres sont traduites en français, notamment : ''Le Retour de Philippe Latinovicz'' () qui dépeint les inquiétudes d'une Yougoslavie en pleine mutation, ''Je ne joue plus'' (), ou ''Enterrement à Theresienbourg'' (). Informations fournies par Wikipedia
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